- Hors série - 19 Juin 2018.
- Nina Cadeau
- 22 juin 2018
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 24 juin 2018
Aujourd'hui on se retrouve pour un article qui n'était pas prévu tout autant que ce dont je vais vous parler aujourd'hui. Ceux qui me suivent sur Instagram ont dû voir mon post que j'ai écrit en étant effondrée. C'est ce matin au réveil que j'ai appris la mort de Koko. C'était une gorille caractérisée par son empathie, sa douceur et qui plus est par sa connaissance de la langue des signes américaine. Elle est décédée selon son site le 19 Juin, d'où le nom de l'article de ce soir. Si ma tristesse est aussi grande c'est parce que cet être était exceptionnel. 46 ans qu'elle épatait tour à tour ses visiteurs et sa protectrice et éducatrice adorée Penny Patterson. Grâce à cette dernière on a pu rendre réalité le mythe du discours inter-espèces. Elle a aussi mis au goût du jour l'affirmation que la réflexion et le jugement est possible chez l'animal . Encore aujourd'hui on apprend en cours de Philosophie que seuls les humains en sont capables. J'ai beau essayer de comprendre que l'on souhaite rester encore et toujours des êtres supérieur à l'animal , même si la vérité ne peut pas s'imposer d'elle même il est temps que les recherches portent leurs fruits !
Koko est bien la preuve que l'animal peut ressentir de l'empathie, de l'attachement envers d'autres animaux ( d'autres espèces j'entends) et peuvent aussi réfléchir sur ce qui leur est imposé. Ainsi Koko durant toutes ces années n'a pas manqué de s'insurger et de quémander lorsque ce qu'elle avait n'était pas suffisant. Quel humain peut prétendre en faire autant ?

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